Matadi, République démocratique du Congo. Ma pomme devant le bureau des photographes (superficie 3 m²) de l’Esperanza. Un confort de travail que je n’ai pas connu sur les douze autres bateaux de Greenpeace sur lesquels j’ai navigué, mais qui ne m’épargne pas de devenir rapidement « claustrophobe » quand la mer nous bastonne… J’ai pris la photo…
