Bon, n’ayant pas trouvé de pavés parisiens hier au cimetière de Génélard (voir mon intervention précédente), aujourd’hui j’ai foncé, à bicyclette comme d’habitude, vérifier si l’église n’en recèlerait pas quelques-uns. Toujours pas de pavé, mais je suis quand même tombé sur un rare texte de contrition dans le confessionnal. À suivre…