Demain, c’est la » journée de la nuit » contre les pollutions lumineuses nocturnes. Un fléau qui dérègle la faune et la flore et consomme une quantité criminelle d’électricité en ces temps de changement climatique. En France rurale, toutes les nuits, des milliers de kilomètres de rues sont éclairés alors qu’il ne passe pas une seule voiture entre minuit et cinq heures de matin. Pour les villes, on attend toujours le détecteur de présence intelligent, mais c’est sans doute plus compliqué et moins rentable à construire qu’un EPR à dix milliards.
Photo Saint-Pierre du Cantal, pas d’abat-jour, c’est 50% de perte d’efficacité…